Par le biais de la microfinance et de la microassurance, FISOL contribuera à améliorer durablement la qualité de vie des populations démunies au Cameroun.
Pas seulement en apportant de l’argent, mais surtout avec de la consultance et en dialogue avec les partenaires locaux.
Les ménages pauvres ont moins accès que les autres aux services d’assurance formels pour se protéger contre des risques tels que le décès du soutien de famille, une maladie grave ou chronique au sein de la famille, ou la perte d’un actif (bétail, logement, etc.).
La microassurance aide les gens à gérer des événements inattendus en contrepartie d’un paiement proportionnel à la probabilité et au niveau du risque concerné. La santé, les biens, l’agriculture, l’assurance-vie sont des domaines qui peuvent être couverts par la microassurance. Comme pour les autres assurances, la mutualisation des risques en microassurance permet à des individus ou des groupes de mutualiser les risques et de répartir les coûts de sinistres éventuels au sein du groupe.
À mesure que les institutions de microfinance étendent leurs services au-delà du crédit pour proposer une plus large gamme de produits financiers, elles cherchent de plus en plus à offrir à leurs clients des produits de microassurance en partenariat avec des compagnies d’assurance. Si les assureurs commerciaux fournissent la majorité des produits à l’échelle mondiale, des structures d’assurance mutuelles, coopératives et autres organisations à base ou à direction collective sont en train de faire leur apparition sur le marché de la microassurance. La principale difficulté pour les modèles de microassurance réside dans le fait de trouver le bon équilibre entre niveau de protection et accessibilité financière pour fournit un service réellement utile aux assurés.